La coalition ETE

Un rassemblement progressiste inédit, la promesse d’une Europe qui nous protège

La coalition ETE

Notre programme

Vive les territoires, vive la République, vive la France et Vive l’Europe !

Notre programme

Une Europe de la diplomatie et de la défense doit naitre pour nous protéger et nous affirmer

Alors que la réélection possible de Donald Trump pointe à l’horizon, les européens ne peuvent plus attendre pour s’organiser. Nous devons nous fédérer au sein de l’Otan pour prévenir un retrait américain, nous devons aussi mieux coopérer, harmoniser nos armements en donnant la préférence communautaire à nos industries. Les européens doivent aussi contribuer à leur défense.

La France, seule armée complète du continent, ne peut continuer de porter quasiment seule le prix de la défense de tous. Nos dépenses militaires consacrées à la défense de l’Europe, comme celles des autres pays impliqués, doivent être prises en charge par l’Europe.

Une Europe de la diplomatie et de la défense, c’est aussi une Europe capable de peser dans les désordres du monde, de coopérer avec le sud global et d’œuvrer pour la paix au Moyen-Orient. La Paix ne se négociera pas avec le terrorisme du Hamas, pas plus qu’avec les assassins de Yitzhak Rabin. La paix viendra d'une solution à deux États, israélien et palestinien. C’est la seule solution que l’Europe unie pourrait et devrait imposer.

Une Europe de la défense, c’est une Europe indépendante, une Europe souveraine. Industrie, énergie, environnement, agriculture doivent aussi en être la démonstration pour dire aux européens qu’ils sont maitres de leur destin.

Produire en Europe

Produire en Europe c’est veiller à ce que les européens ne manquent jamais de l’essentiel. Comment convaincre nos concitoyens que l’Europe est une super puissance mondiale quand elle n’a su produire ni masque, ni vaccin dans la crise du covid.

Comment alors que nous manquons de doliprane, d’amoxicilline ou encore de traitement du diabète dans nos pharmacies, défendre le modèle économique européen ?

Nous savons pourtant qu’il serait possible de faire autrement.

En Occitanie et à Blagnac, on le sait mieux qu’ailleurs. Airbus est la démonstration éclatante du génie et de la performance de nos industries. Nous proposons en urgence un Airbus du médicament. Nous demandons que ce modèle de coopération soit développé dans tous les secteurs vitaux et d’innovation.

Produire en Europe, c’est en terminer avec la concurrence fiscale entre les entreprises, c’est en finir avec les paradis fiscaux du continent.

Pendant que d’autres agitent le slogan d’une taxe sur les supers profits, nouvelle arlésienne après la taxe sur les transactions financières, nous défendons l’harmonisation fiscale de la taxation sur les bénéfices à 30%. Une mesure simple, réaliste et qui permettra un marché commun qui ne soit pas un marché de dupes.

Produire en Europe, c’est une agriculture garante de notre souveraineté et de notre sécurité alimentaire. C’est une agriculture où l’on harmonise les normes de production par le haut pour tous, une Europe où l’on cesse de demander à nos agriculteurs d’être vertueux pour deux et de diviser leur rémunération par deux.

Ce sont des aides PAC qui n’encouragent pas prioritairement les aides à l’hectare mais qui tiennent véritablement compte des réalités régionales, qui encouragent la polyculture-élevage et organise la complémentarité entre les productions.

C’est une PAC régionalisée, c’est aussi, au-delà de notre alimentation, une ressource industrielle locale. La laine de nos moutons, la paille de lin sont garants de nos tissus écoresponsables de demain comme on le démontre à Tourcoing.

Produire en Europe c’est assurer notre souveraineté énergétique, pour couvrir nos besoins mais aussi cesser de financer les États mafieux qui ont la haute main sur les énergies fossiles que nous devons remplacer. C’est fabriquer en Europe les panneaux photovoltaïques et les éoliennes.

C’est une Europe qui crée un fonds d’investissement pour financer les équipements en énergies renouvelables par les collectivités locales dont chacun sait qu’ils mettent moins de dix ans à être rentables.

C’est le gage que nous investirons 3 euros dans le renouvelable quand nous mettons un euro dans le nucléaire.

Une ressource énergétique nouvelle, accessible financièrement, créatrice de richesse doit naitre et ne pas être captée par le capitalisme. Nous avons laissé l’eau être privatisée. C’est une faute que nous ne pouvons reproduire en matière énergétique.

Produire en Europe, c’est s’engager à ne plus polluer nos écosystèmes, nos rivières, nos corps et nos vies. C’est encourager l’industrie du recyclage. C’est faire de l’Europe de la recherche une priorité pour interdire les polluants éternels sous trois ans et trouver dans la nature les molécules qui les remplaceront.

La transition écologique ne sera pas la casse des emplois si le génie humain, le progrès et les scientifiques en sont des artisans soutenus et reconnus.

Une Europe plus sociale et du pouvoir d’achat

Produire en Europe, c’est permettre une Europe de l’emploi, une Europe plus sociale, une Europe du pouvoir d’achat.

C’est arrêter de monter les travailleurs les uns contre les autres. Nous savons tous qu’un monde idéal permettrait d’harmoniser par le haut les niveaux de vie, de voter un salaire minimum européen et d’en finir avec la concurrence sociale.

Nous savons tous que ce monde n’existe pas encore. Pour éviter toute démagogie, notre projet propose de poser une première pierre en défendant un revenu de base européen. Une avancée, un engrenage, que nous proposons de financer par la lutte efficace contre la fraude à la TVA qui rapportera 50 milliards d’euros.

Mais l’Europe du pouvoir d’achat c’est aussi s’emparer à bras le corps du sujet essentiel et central de nos vies. C’est répondre impérativement à la crise du logement.

C’est évidemment garantir des logements dignes et faire de la rénovation énergétique le cœur de notre action. C’est une Europe au côté des collectivités pour lutter contre les îlots de chaleur et réinventer notre urbanisme. C’est aussi prendre acte que la construction est aujourd’hui en souffrance. Rareté et cherté des matériaux comme le niveau des taux bancaires en sont les principales causes. Des sujets auxquels l’Europe peut et doit répondre.

Cette crise du logement, c’est une flambée des prix dans les zones tendues, principalement dans les métropoles où la spéculation immobilière surfe sur la rareté. Pourtant, se loger est le moindre des droits. Pousser chacun à travailler dans les métropoles mais à vivre loin est une injustice de plus ! Cette problématique est présente partout en Europe. Il y a urgence à agir.

C’est pour cela que nous proposons d’expérimenter une mesure forte et audacieuse par la reconnaissance d’un statut de résident en zone tendue donnant priorité sur les ventes immobilières pour l’acquisition de son domicile principal.

Une Europe démocratique

Notre Europe n’est pas celle de la technocratie, pas celle du contrôle technique obligatoire pour les deux roues, pas celle de la couleur des phares de voiture mais une Europe qui nous protège, une Europe que nous voulons plus forte et plus grande, une Europe respectueuse de nos vies et de nos diversités. Cette Europe ne pourra réussir sans les peuples. Nous exigeons une Europe démocratique !

Nous n’avons pas élu Ursula Van Der Leyen et nous n’élirons pas Mario Draghi. Et ce déni de démocratie n’est pas un hasard… car si on nous demandait notre avis… ils ne seraient pas élus !

L’élection est la seule façon de gouverner par le peuple et pour le peuple. Oui nous voulons une Europe des peuples. Nous voulons un Parlement européen où l’on légifère librement par le peuple et pour le peuple.

Nous voulons aussi des institutions qui nous reflètent dans nos diversités, qui nous respectent dans nos différences pour mieux nous représenter.

Des institutions qui nous défendent et veillent à nous protéger. Des institutions qui arrêtent d’invisibiliser ceux qui souffrent, qui fassent de l’accès des personnes en situation de handicap aux droit fondamentaux une réalité.

Des institutions qui préparent l’avenir en régulant les nouvelles technologies, en protégeant effectivement nos vies privées, en accompagnant la conversion des salariés que la révolution numérique de l’intelligence artificielle va impacter.

L’Europe des territoires

Faire l’Europe des peuples c’est renforcer la parole de nos territoires.

Nos différences se reflètent dans nos territoires, dans leurs cultures, dans leurs histoires, parfois même les langues régionales qu’on y pratique.

Le respect de nos diversités ne nous fait pas peur, parce que nous croyons au dessein commun qui nous rassemble et nous transcende. Nos territoires sont cette démocratie de proximité essentielle, ce sont ces élus locaux qui nous connaissent et agissent pour nous rassembler.

Nos territoires sont la force de nos pays. Ils doivent être entendus à Bruxelles et c’est pour cela que nous proposons un Sénat européen représentatif de nos collectivités.

Le comité des régions sera celui-là.

Faire l’Europe des peuples c’est entendre aussi la volonté historique du peuple français de vivre dans une République laïque.

Entendre les enfants du conseil national de la résistance quand ils disent que les services publics, la solidarité et la redistribution forment un modèle politique inaliénable.

Dire haut et fort que nous demanderons que les traités européens, que le calcul des déficits, entendent que l’exception politique française, que l’école, que la santé ne sont pas privatisables, pas solubles dans le libéralisme et le communautarisme anglo-saxon, que nos services publics ne sont pas de l’endettement mais des investissements d’avenir pour nos enfants.

Une Europe de la jeunesse

Nous voulons l’Europe pour la jeunesse, nous voulons qu’elle voyage gratuitement en Europe, nous voulons qu’elle se forme en France et en Europe parce que rien n’est pire que l’assignation à résidence culturelle et sociale, parce que l’avenir de paix et de prospérité ne sera possible que dans la compréhension mutuelle et l’ouverture d’esprit.

C’est pour la jeunesse que nous voulons une Europe plus forte,

C’est pour la jeunesse que nous avons aligné nos drapeaux partisans au service d’un projet d’une Europe protectrice et fraternelle,

C’est pour la jeunesse que nous avons fait taire nos divisions, que nous avons réfléchi et construit un projet : celui de l’intérêt général européen.

Vive les territoires, vive la République, vive la France et Vive l’Europe !

Les partenaires de cette coalition pour les élections européennes du 9 juin 2024, sont:

PRG

Le Parti Radical de Gauche est un parti de centre gauche connu pour ses positions républicaines, universalistes et laïques ainsi que pour son engagement pro-européen. Seul parti de gauche représenté au Parlement à ne pas avoir rejoint la Nupes en 2022, son président Guillaume Lacroix, est tête de liste de la coalition pour les élections européennes 2024.

Volt

Volt est un parti paneuropéen fondé après le référendum sur le Brexit. Ses missions sont de combattre les nationalismes, d’associer davantage les citoyens à la vie politique et de travailler au-delà des frontières pour faire progresser le projet européen.

R&PS

Régions et Peuples Solidaires a été créé dans la foulée des élections européennes de 1994. C’est un parti qui fédère quatorze mouvements dits régionalistes, enracinés sur leurs territoires, qui portent, dans la diversité de leurs approches particulières, un même message : l’adhésion à une Europe de la diversité, où chaque peuple dispose du même droit.

MDP

Le Mouvement des Progressistes, créé en 2009 dans une volonté partagée de rassembler des forces de Gauche et de progrès, se veut républicain et démocratique, social, écologiste, humaniste, inclusif et surtout, profondément européen.

CSDR

Le Collectif réformateurs (CSDR) est né d’une scission avec Territoires de Progrès, fin 2022, lorsqu’une partie de ses militants a fait le choix de ne pas se fondre dans Renaissance mais de s’orienter vers La Convention de Bernard Cazeneuve, il a pour but d’oeuvrer au rassemblement des sociaux démocrates français.

ANAP

L’Avenir N’Attend Pas, souhaite proposer une alternative politique, économique et sociale, avec une vision d’avenir à 10 ans, pour répondre aux défis de demain avec pour objectif une République plus forte, une économie plus verte et plus compétitive, une France plus puissante et une Société plus juste.

MDC

Le Mouvement des citoyens est un parti politique, co-fondé en 1993 par Jean-Pierre Chevènement et Max Gallo, sur la base du Centre d’Études, de Recherches et d’Éducation Socialiste (CERES), un des courants présents à la fondation du Parti socialiste lors du congrès d’Épinay en 1971 (re-fondé en 2018).